Titre égaré plus d’une année dans les limbes de l’informatique suite à une erreur de manipulation et récupéré du néant binaire grâce à l’ami Laurent (Merci Lolo), sur un texte écrit du temps où mon ami Pascal était en chaise roulante dans une maison spécialisée. Depuis la sclérose en plaques qui le rongeait l’a emporté. J’ai peaufiné musique et paroles, avec un petit emprunt à Apollinaire (Merci Guillaume) jusqu’à obtenir une forme satisfaisante. Tout cela concourt à ce que j’éprouve une affection particulière pour cette chanson, hommage à mon ami Pascal, qui pour ceux qui l’ont connu dans sa jeunesse restera ce jeune chien fou qui hurlait du rock garage au sein de SLOWMAN & The GARAGINALS.
A title which remained in limbo for over a year due to a computer blunder on my part and which got rescued from the digital nothingness thanks to my friend Laurent (Thank you, Lolo), on a set of lyrics written at the time when my friend Pascal was on a wheelchair in a special-care institution. Since then, the multiple sclerosis which was wearing him down has claimed his life. I refined both music and lyrics – with a little help from Appolinaire (Thank you, Guillaume) until I got something satisfying enough. All of this makes me have a particular fondness for this song, which is a tribute to my friend Pascal who will always be – for those who knew him in his youth – the young wild one who used to shout over the garage rock of his band SLOWMAN & The GARAGINALS.