Les musiques sont venues pour la plupart très vite, en lisant le texte, de la mélodie interne à la langue a surgi celle qui donnait l’élan à la chanson. En tirant ces premières notes, j’espère plus comme une guirlande que comme une chasse d’eau, est venu le reste. Ici, « Les orages », chanson sur la persistance de l’amour, est simplement réalisée (par manque de violoncelle et hautbois), elle est associée à un titre qui m’imposait plus d’instruments pour traduire son caractère joyeusement mélancolique (j’ai essayé), et un chœur de gars légèrement avinés (je me suis arrêté à deux).
I came up with most of the music quite fast, while reading the lyrics – the melody inherent to the words brought about that which set the song off. From these first few notes the rest developed naturally. « Les orages » (« The Storms ») – a song about the persistence of love – is arranged in a basic manner – by lack of a cello and a oboe. It is paired with another track which I had to realize with more instruments in order to demonstrate its wistful joy – I tried – and backing vocals by a bunch of slightly intoxicated guy – I actually made do with only a couple of them.