Un autre petit conte cruel mis à la sauce R&B, inspiré par un article lu sur les difficultés financières de certains retraités juxtaposé à un autre sur les affreuses méthodes des abattoirs industriels. J’en jouais une première version plutôt folk-blues (placée après en démo), puis un jour je l’ai interprété de façon différente et j’ai trouvé que cela fonctionnait mieux. Admettons trois choses, dans l’autre monde je rencontre ce merveilleux chanteur qu’était Arthur Alexander et il me chante ce titre, voilà pour moi sa destinée rêvée.
Another short cruel tale dressed as an R&B song, inspired by an article I read about the financial hardship some retired people go through, side by side with another one about industrial slaughterhouses. At first I used to play it pretty much as a folk blues song – the demo of which is presented here as a bonus -, then one day I did in a different way and decided it worked better. Let’s imagine three things: in the afterworld I meet the wonderful late singer Arthur Alexander and he sings this tune to me. Here is the ultimate fate I wish for it.